Graphiline | Chronique du super succès de Superpictor !

La team Superpictor tient à remercier Sévérine Robert et la rédaction de Graphiline pour leur temps consacré à cet article ! Si vous ne connaissez pas encore leur travail, on vous recommande chaudement de vous intéresser à leurs contenus spécialisés dans l'industrie graphique et le print.

• Des articles gratuits, quotidiens et courts, parfait pour accompagner votre pause café ☕
• 6 rubriques pour se tenir informer sur chaque domaines du secteurs : imprimerie, emballage & étiquette, communication visuelle, papier, création graphique, digital
• Une newsletter gratuite chaque semaine avec 54 000 abonnés

Graphiline, par Séverine Robert, le 30 mars 2022

La start-up lyonnaise Superpictor aide les revendeurs textiles et objets publicitaires dans la préparation de commandes et simplifie leurs ventes grâce au digital. Chronique d'un super succès.

 

Faciliter le quotidien des revendeurs

 

L'idée de Superpictor est née du constat commun des trois fondateurs, Dan, Benoit et Jérémy : « La personnalisation textile et objet comprenait de nombreuses étapes longues et fastidieuses. Les échanges entre les parties prenantes (client, commercial, graphiste) génèrent en effet de façon générale une perte de temps conséquente et une source d'erreurs importante. »

 

Alors actifs dans une autre société, ils décident dès 2016 de développer en interne une solution de digitalisation du process, permettant de fluidifier ces interactions pour produire mieux et plus vite. Deux ans plus tard, en 2018, ils testent leur innovation au salon CTCO, un incontournable du secteur de la personnalisation, et remportent un franc succès : en plus d'être performant, leur outil présente une avancée exclusive, car aucun autre acteur n'est positionné sur ce marché. Superpictor est lancée !

La plateforme de simplification du processus de marquage objet et textile, Superpictor.

Automatisation des BAT

Superpictor propose donc un système d'abonnement à sa plateforme du même nom pour assister les professionnels de la revente d'objets et de textiles personnalisés. L'outil permet d'automatiser la production des BAT et d'alléger ainsi la charge du graphiste, engorgé la plupart du temps par ce genre de tâche sans réelle valeur ajoutée. Simple d'utilisation et conçue pour être très intuitive, la plateforme Superpictor intègre une base de données des spécificités textiles et objets, notamment sur les emplacements de marquage. Ainsi, les commerciaux prennent en charge cette étape en livrant à leurs clients une prévisualisation de leur produit personnalisé, avec autant de versions qu'ils le souhaitent. Les échanges internes/externes sont plus rapides et la marge d'erreur grandement réduite : création du BAT en 10 min et jusqu'à 80 % d'erreurs de commandes en moins, promet la start-up.

 

Une fois le BAT validé et selon les besoins du revendeur, Superpictor étend son offre vers la préparation du fichier de production, quelle que soit la technique : impression ou broderie. On retrouve donc plusieurs options, disponibles dès la version « Basics » :

• vectorisation du fichier ;
• détourage du logo ;
• cut-contours ;
• redesign, etc.

 

Une récente levée de fonds qui dope la super croissance de la start-up

 

En février, Superpictor a bénéficié d'une levée de fonds d'un million d'euros auprès de différents investisseurs locaux et internationaux (Etats-Unis, Hong Kong, etc.). Par cette augmentation de capital, la jeune start-up prévoit de doubler ses effectifs en 2022, passant de 15 à 30 collaborateurs. Les postes à pourvoir sont, pour l'instant, orientés vers la consolidation de l'outil : technologie web et data.

 

L'objectif de Superpictor est de couvrir de A à Z les besoins client, de la demande à la livraison du produit. C'est pourquoi, les trois associés complémentaires, Dan Kong-A-Siouv en développement technique, Benoit Deves au commercial et Jérémy Compagnat chargé du réseautage, comptent bien faire évoluer la plateforme et étendre leur positionnement sur des marchés européens, à commencer par l'Allemagne et l'Angleterre, où là encore, rien de similaire n'existe.

Lire l'article sur Graphiline